jueves, 30 de abril de 2009
It's raining men
Avui m'han entrat uns quants men com deu mana! estic força content! Cal seguir entrenant i tot i ser un "galápago" de quaranta i massa anys amb paciència crec que acabaré per aconseguir-ho això de fer un bon kendo. De moment poc a poc i bona lletra que sent metge te molt de mèrit
miércoles, 29 de abril de 2009
Katas vintage
Et ací un video de cates de l'any de la mariacastanya q vaig rebre fa unes setmanes d'un company de Kendo, l'Enric. A veure si us agrada tant com a mi. És el kendo no kata 大日本帝国剣道形 realizat por Sasaburo Takano (uchidachi) i Nakayama Hakudo (shidachi), gaudiu!
http://www.youtube.com/watch?v=R2ZRpl9WoPQ
Et ací un video de cates de l'any de la mariacastanya q vaig rebre fa unes setmanes d'un company de Kendo, l'Enric. A veure si us agrada tant com a mi. És el kendo no kata 大日本帝国剣道形 realizat por Sasaburo Takano (uchidachi) i Nakayama Hakudo (shidachi), gaudiu!
http://www.youtube.com/watch?v=R2ZRpl9WoPQ
lunes, 27 de abril de 2009
Historie du Kendo
« Le kendo est la plus ancienne, la plus respectée et la plus populaire des disciplines modernes du Budō » nous indique en 1983 Donn F. Draeger, l'un des spécialistes des arts martiaux japonais.
Après une longue période de guerres et l'unification du pays par le Shogun Tokugawa Ieyasu, le Japon entre dans une ère de paix qui durera plus de 260 ans, l'époque d'Edo (1600-1868), au cours de laquelle le kenjutsu qui a perdu en pratique sa finalité sur les champs de bataille prend son essor dans la formation de la caste dirigeante, celle des bushi (ou samouraï). Le kenjutsu est alors l'un des dix-huit arts martiaux que doit pratiquer le bushi. De nombreux traités sur le sabre sont publiés à cette époque au Japon tel le Gorin no shō de Miyamoto Musashi ou le Hagakure de Yamamoto Jocho. De « sabre pour tuer » le kenjutsu évolue vers le « sabre pour vivre » (katsujinken) par l'étude duquel le pratiquant forge sa personnalité. Afin de faciliter la pratique jusque là limitée à des kata au sabre de bois (bokken) ou au sabre réel, Naganuma Shiro développe au début du XVIIIe siècle le sabre en bambou (shinai) et différentes protections (bogu) afin d'autoriser des frappes réelles pendant les assauts. Parallèlement à l'amélioration du matériel qui prend la forme définitive que nous lui connaissons aujourd'hui peu avant la fin de l'ère Edo, le kenjutsu évolue vers sa forme moderne, le kendo.
Dans une école d'agriculture au Japon, vers 1920
À la Restauration de Meiji (1868), le port du sabre est interdit par décret impérial en 1876, la caste des samouraïs est dissoute et les arts martiaux tombent en désuétude avec l'introduction des techniques militaires occidentales. Les arts martiaux, dont le kenjutsu, renaissent toutefois dès 1878 dans les écoles de police et la première fédération d'arts martiaux, la Nihon Butokukai est créée à Kyōto au sein du dojo Butokuden en 1895. C'est à peu près à la même époque, en 1899, qu'est traduit en anglais le livre Bushido de Inazō Nitobe (1862-1933) qui contribuera grandement à faire connaitre à l'étranger les arts martiaux Japonais. Jusque là appelé kenjutsu, c'est en 1912 qu'il est fait pour la première fois mention du kendo dans la publication des Nihon Kendo no Kata (Kata pour le Kendo). L'Occident découvre le kendo dès le XIXe siècle à travers des récits de voyages. En 1899, une première démonstration de kendo a lieu en France à l'occasion de la visite du créateur du judo moderne, Jigoro Kano.
La défaite du Japon en 1945 porte un coup sévère aux arts martiaux japonais en général et au kendo en particulier, responsables selon l'occupant Américain de véhiculer une idéologie militariste via le Bushido. Le kendo sera d'ailleurs interdit après la guerre, mais sa pratique sportive se poursuivra sous le nom de « compétition au shinai » jusqu'en 1952 date à laquelle se constitue la Fédération Japonaise de Kendo (Zen Nippon Kendo Renmei). A cette occasion, des maîtres sont dépêchés à l'étranger, en France notamment. Citons ici maître Mochizuki Minoru, notamment 4e dan de kendo. Sous le contrôle de ces maîtres japonais, parfois rivaux, la France commence la pratique du kendo dès le début des années 1950 sous l'égide de la Fédération Française d'Aïkido, Taï-Jitsu et Kendo qui organise le premier championnat de France de kendo en 1959.
« Le kendo est la plus ancienne, la plus respectée et la plus populaire des disciplines modernes du Budō » nous indique en 1983 Donn F. Draeger, l'un des spécialistes des arts martiaux japonais.
Après une longue période de guerres et l'unification du pays par le Shogun Tokugawa Ieyasu, le Japon entre dans une ère de paix qui durera plus de 260 ans, l'époque d'Edo (1600-1868), au cours de laquelle le kenjutsu qui a perdu en pratique sa finalité sur les champs de bataille prend son essor dans la formation de la caste dirigeante, celle des bushi (ou samouraï). Le kenjutsu est alors l'un des dix-huit arts martiaux que doit pratiquer le bushi. De nombreux traités sur le sabre sont publiés à cette époque au Japon tel le Gorin no shō de Miyamoto Musashi ou le Hagakure de Yamamoto Jocho. De « sabre pour tuer » le kenjutsu évolue vers le « sabre pour vivre » (katsujinken) par l'étude duquel le pratiquant forge sa personnalité. Afin de faciliter la pratique jusque là limitée à des kata au sabre de bois (bokken) ou au sabre réel, Naganuma Shiro développe au début du XVIIIe siècle le sabre en bambou (shinai) et différentes protections (bogu) afin d'autoriser des frappes réelles pendant les assauts. Parallèlement à l'amélioration du matériel qui prend la forme définitive que nous lui connaissons aujourd'hui peu avant la fin de l'ère Edo, le kenjutsu évolue vers sa forme moderne, le kendo.
Dans une école d'agriculture au Japon, vers 1920
À la Restauration de Meiji (1868), le port du sabre est interdit par décret impérial en 1876, la caste des samouraïs est dissoute et les arts martiaux tombent en désuétude avec l'introduction des techniques militaires occidentales. Les arts martiaux, dont le kenjutsu, renaissent toutefois dès 1878 dans les écoles de police et la première fédération d'arts martiaux, la Nihon Butokukai est créée à Kyōto au sein du dojo Butokuden en 1895. C'est à peu près à la même époque, en 1899, qu'est traduit en anglais le livre Bushido de Inazō Nitobe (1862-1933) qui contribuera grandement à faire connaitre à l'étranger les arts martiaux Japonais. Jusque là appelé kenjutsu, c'est en 1912 qu'il est fait pour la première fois mention du kendo dans la publication des Nihon Kendo no Kata (Kata pour le Kendo). L'Occident découvre le kendo dès le XIXe siècle à travers des récits de voyages. En 1899, une première démonstration de kendo a lieu en France à l'occasion de la visite du créateur du judo moderne, Jigoro Kano.
La défaite du Japon en 1945 porte un coup sévère aux arts martiaux japonais en général et au kendo en particulier, responsables selon l'occupant Américain de véhiculer une idéologie militariste via le Bushido. Le kendo sera d'ailleurs interdit après la guerre, mais sa pratique sportive se poursuivra sous le nom de « compétition au shinai » jusqu'en 1952 date à laquelle se constitue la Fédération Japonaise de Kendo (Zen Nippon Kendo Renmei). A cette occasion, des maîtres sont dépêchés à l'étranger, en France notamment. Citons ici maître Mochizuki Minoru, notamment 4e dan de kendo. Sous le contrôle de ces maîtres japonais, parfois rivaux, la France commence la pratique du kendo dès le début des années 1950 sous l'égide de la Fédération Française d'Aïkido, Taï-Jitsu et Kendo qui organise le premier championnat de France de kendo en 1959.
viernes, 24 de abril de 2009
jueves, 23 de abril de 2009
O Bogu, que coisa é?
Bogu é o conjunto de armadura que é usado na prática do Kendo, que é constituído por quatro partes: Men, Kotê, Dô e Tarê. O Bogu pode ser confeccionado na cor azul-marinho e branco, exceto o Dô, que pode vir com estampas ou desenho na parte frontal.Men Men é a armadura que protege a cabeça, como um capacete. É feita com um material especial semelhante a um pano grosso(aproximadamente 1,0 cm a 2,0 cm)e resistente, para poder suportar os ataques. A parte frontal do Men é um conjunto de protetores feitos de metal, com intervalos não muito largos para que o Shinai não passe, mas não muito estreito para não obstruir a visão do Kenshi. Um pouco abaixo desse protetor, existe o protetor para o golpe tsuki. O Men tem um par de abas que servem para proteger os ombros. É comum utilizar o Tenugüi (pano de algodão fino e retangular) na cabeça em baixo do Men para melhorar a aderência e absorver o suor.Kotê Kotê é a armadura que protege as mãos e os punhos. É utilizado como uma luva. A parte que protege as mão é feita com um material fofo, para que possa absorver o impacto na hora do golpe. A parte que protege o punho é feita de um material mais rígido e acaba antes de cobrir todo o ante-braço.DôDô é a armadura que protege o tronco. É feita de Bambu e detalhes em couro.TarêTarê é a armadura que protege da cintura até a coxa. É muito freqüente o uso do Tarê name, um tipo de identificação com o nome de cada Kenshi no Tarê.Existem equipamentos adicionais que aqui não foram citados, mas podem ser utilizados de acordo com a necessidade do Kenshi
Bogu é o conjunto de armadura que é usado na prática do Kendo, que é constituído por quatro partes: Men, Kotê, Dô e Tarê. O Bogu pode ser confeccionado na cor azul-marinho e branco, exceto o Dô, que pode vir com estampas ou desenho na parte frontal.Men Men é a armadura que protege a cabeça, como um capacete. É feita com um material especial semelhante a um pano grosso(aproximadamente 1,0 cm a 2,0 cm)e resistente, para poder suportar os ataques. A parte frontal do Men é um conjunto de protetores feitos de metal, com intervalos não muito largos para que o Shinai não passe, mas não muito estreito para não obstruir a visão do Kenshi. Um pouco abaixo desse protetor, existe o protetor para o golpe tsuki. O Men tem um par de abas que servem para proteger os ombros. É comum utilizar o Tenugüi (pano de algodão fino e retangular) na cabeça em baixo do Men para melhorar a aderência e absorver o suor.Kotê Kotê é a armadura que protege as mãos e os punhos. É utilizado como uma luva. A parte que protege as mão é feita com um material fofo, para que possa absorver o impacto na hora do golpe. A parte que protege o punho é feita de um material mais rígido e acaba antes de cobrir todo o ante-braço.DôDô é a armadura que protege o tronco. É feita de Bambu e detalhes em couro.TarêTarê é a armadura que protege da cintura até a coxa. É muito freqüente o uso do Tarê name, um tipo de identificação com o nome de cada Kenshi no Tarê.Existem equipamentos adicionais que aqui não foram citados, mas podem ser utilizados de acordo com a necessidade do Kenshi
BOGU
Bōgu (防具 ?) is specially developed protective armour used in Japanese martial arts, kendo and naginata.
A set of bogu consists of:
men (面 ,めん?) facemask and shoulder protector (helmet);
dō (胴 ,どう?): torso protector (breastplate);
kote (小手 ,こて?): hand and forearm protectors (gauntlets);
tare (垂れ ,たれ?): leg and groin protector (faulds);
sune-ate (脛当て ,すねあて?): shin protectors (greaves)(worn only by naginata practitioners).
The men protects the face, neck, and shoulders. It consists of a facemask with several horizontal metal bars running the entire width of the face, from the chin to the top of the head. To this is attached a long rectangular thick cloth padding that curves over the top of the head and extends to cover the shoulders. A throat protector is attached to the bottom of the facemask. The men is held in place with a pair of woven cords that wrap around the head and are tied at the back. The back of the men is left open for ventilation and the back of the head is unprotected. The target areas of the men are the center top, and upper left and right sides for cutting strikes and the center of the throat protector for a thrust.
The main component of the dō is the gently curving stomach and chest protector. The modern form has a pronounced bulge to help redirect the force of strikes away from the soft areas in the middle of the torso. Lacquered bamboo is traditionally used although lacquered paper "fibre" (frequently misidentified as fiberglass) or molded plastic are used for less expensive dō. The dō is supported from the shoulders by two diagonal ties and is restrained at the small of the back with another set of ties. The target areas of the dō are the two lower sides for a slashing cut to the stomach. The top half of the dō is a valid target for a thrust in naginata. In the kendo past, this was also a valid target for a thrust, but is no longer a permitted target.
The kote are mitten-like gloves. They were designed expressly for kendo. While appearing to be cumbersome, enough mobility is allowed to grip the shinai in a comfortable, powerful, and firm way. Kote for [[naginata]] users have a singulated index finger and thumb to better facilitate the rapid shifting of the hands along the length of the naginata's shaft. Naginata kote have a little less padding than those used for kendo. In the past kote were often made with fully articulated fingers. This is rarely seen today as there can be a safety issue with snagged fingers. A special heavily padded design known as oni-gote (鬼小手おにごて ?) are used by some koryu, most notably Itto-ryu. The target area is the wrist portion of each kote.
The tare is a thick cloth belt that wraps around the waist and ties under the front flap in front of the groin. Sturdy cloth covered flaps hang from the belt to protect the upper legs and groin. The flaps run along half of the belt's length, which should be positioned over the front half of the body. The center flap is usually covered with a name tag (zekken (ゼッケン ?), or nafuda (名札 ,なふだ?)) that identifies the name of the wearer and the dōjō or country they represent. There is no target point on tare, it is for protection against off-target and accidental strikes
A set of bogu consists of:
men (面 ,めん?) facemask and shoulder protector (helmet);
dō (胴 ,どう?): torso protector (breastplate);
kote (小手 ,こて?): hand and forearm protectors (gauntlets);
tare (垂れ ,たれ?): leg and groin protector (faulds);
sune-ate (脛当て ,すねあて?): shin protectors (greaves)(worn only by naginata practitioners).
The men protects the face, neck, and shoulders. It consists of a facemask with several horizontal metal bars running the entire width of the face, from the chin to the top of the head. To this is attached a long rectangular thick cloth padding that curves over the top of the head and extends to cover the shoulders. A throat protector is attached to the bottom of the facemask. The men is held in place with a pair of woven cords that wrap around the head and are tied at the back. The back of the men is left open for ventilation and the back of the head is unprotected. The target areas of the men are the center top, and upper left and right sides for cutting strikes and the center of the throat protector for a thrust.
The main component of the dō is the gently curving stomach and chest protector. The modern form has a pronounced bulge to help redirect the force of strikes away from the soft areas in the middle of the torso. Lacquered bamboo is traditionally used although lacquered paper "fibre" (frequently misidentified as fiberglass) or molded plastic are used for less expensive dō. The dō is supported from the shoulders by two diagonal ties and is restrained at the small of the back with another set of ties. The target areas of the dō are the two lower sides for a slashing cut to the stomach. The top half of the dō is a valid target for a thrust in naginata. In the kendo past, this was also a valid target for a thrust, but is no longer a permitted target.
The kote are mitten-like gloves. They were designed expressly for kendo. While appearing to be cumbersome, enough mobility is allowed to grip the shinai in a comfortable, powerful, and firm way. Kote for [[naginata]] users have a singulated index finger and thumb to better facilitate the rapid shifting of the hands along the length of the naginata's shaft. Naginata kote have a little less padding than those used for kendo. In the past kote were often made with fully articulated fingers. This is rarely seen today as there can be a safety issue with snagged fingers. A special heavily padded design known as oni-gote (鬼小手おにごて ?) are used by some koryu, most notably Itto-ryu. The target area is the wrist portion of each kote.
The tare is a thick cloth belt that wraps around the waist and ties under the front flap in front of the groin. Sturdy cloth covered flaps hang from the belt to protect the upper legs and groin. The flaps run along half of the belt's length, which should be positioned over the front half of the body. The center flap is usually covered with a name tag (zekken (ゼッケン ?), or nafuda (名札 ,なふだ?)) that identifies the name of the wearer and the dōjō or country they represent. There is no target point on tare, it is for protection against off-target and accidental strikes
jueves, 16 de abril de 2009
Nous cops
Avui he rebut una sèrie de cops nous que quan els domini rieu-vos de les men-llejas del Jordi! El primer un Kodo-te. Aquest cop és per a grans mestres, es tracta de fer un engany fent creure al contrari q vas a fer un kote i li claves amb el shinai un cop al colze q el deixes sentint la filarmònica de Viena aprofitant la distracció musical he rebut el segon cop aquest si q decideix qualsevol combat: un clepsamen. Aquest consisteix amb fer el men més ellà de la protecció però sense ser una menlleja. El resultat és q l'adversari acaba un o dos centímetres més baixet (i això en el meu cas pot ser problemàtic) amb menys pel a la clepsa q es transforma en calva (en el meu cas han patit directament les neurones al mancar-me la protecció natural del pel) i amb un atordiment q permet a l'adversari fer-te no un sino mitja dotzena d'ipons! També he rebut un Dodge (no és un cotxe americà sino un do dirigit al fetge) la versió castellana del mateix es el DogaDo (Do en higaDO) que de més a més de pujar-te les transaminases et deixa grog i grogi.
Bé no us explico més coses per avui pq els altres cops formen part de un còdig secret que ni jo mateix us els sabria descriure només dir-vos que ni veus d'on venen però sents com t'arriben.
Salut camarades!!!
Avui he rebut una sèrie de cops nous que quan els domini rieu-vos de les men-llejas del Jordi! El primer un Kodo-te. Aquest cop és per a grans mestres, es tracta de fer un engany fent creure al contrari q vas a fer un kote i li claves amb el shinai un cop al colze q el deixes sentint la filarmònica de Viena aprofitant la distracció musical he rebut el segon cop aquest si q decideix qualsevol combat: un clepsamen. Aquest consisteix amb fer el men més ellà de la protecció però sense ser una menlleja. El resultat és q l'adversari acaba un o dos centímetres més baixet (i això en el meu cas pot ser problemàtic) amb menys pel a la clepsa q es transforma en calva (en el meu cas han patit directament les neurones al mancar-me la protecció natural del pel) i amb un atordiment q permet a l'adversari fer-te no un sino mitja dotzena d'ipons! També he rebut un Dodge (no és un cotxe americà sino un do dirigit al fetge) la versió castellana del mateix es el DogaDo (Do en higaDO) que de més a més de pujar-te les transaminases et deixa grog i grogi.
Bé no us explico més coses per avui pq els altres cops formen part de un còdig secret que ni jo mateix us els sabria descriure només dir-vos que ni veus d'on venen però sents com t'arriben.
Salut camarades!!!
miércoles, 8 de abril de 2009
El Ji-geiko es el núcleo del Keiko en Kendo. En Ji-geiko, nosotros (Kendo-ka) podemos intentar utilizar Waza (técnica) sin restricción. Podemos también aprender lo que necesitamos hacer antes de atacar (Seme) o cómo reaccionar al Seme del oponente (intención y ataque). Más aún, por medio del Ji-geiko podemos reconocer en cual tipo de Waza somos buenos o no, y un Ji-geiko puede hacernos caer en cuenta en qué aspectos debemos trabajar en nuestro próximo Kihon-geiko o Ji-geiko para progresar técnicamente. Además nos brinda vías para desarrollar nuestras habilidades y espíritu como Kendo-ka. Si afrontamos el Ji-geiko en forma equivocada, como por ejemplo enfocarnos sólo en vencer al oponente, no podremos esperar un desarrollo correcto como kendokas. Por tanto es importante comprender la forma correcta de hacer Ji-geiko. (mañana más para no abrumar)
lunes, 6 de abril de 2009
Un poco de historia
El Kendo, cuyos orígenes se pierden en la nebulosa de los tiempos, es el Arte de la esgrima japonesa. Los más antiguos relatos sobre la historia del Japón atribuyen al sable un origen divino, hasta tal punto, que es uno de los tres símbolos sagrados del Japón.
La forma y estilo del sable japonés con hoja curvada, NIPPON TO, apareció según todos los indicios hacia el siglo XII de la mano de hábiles artesanos que lo forjaban y templaban acompañados de ceremonias y ritos purificantes, encaminados a conseguir la protección de los Dioses.
Sólo los samuráis estaban autorizados a llevar dos sables, uno largo y otro corto, cuya posesión pasaba de padres a hijos. E1 sable o Katana era el alma y la vida del samurai, simbolizando, sus cualidades más preciadas: lealtad, honor, sinceridad, coraje, etc.
El Kendo, Ken Jutsu en aquella época, era de vital importancia para los guerreros samuráis. Su vida dependía de la habilidad adquirida en el manejo de la Katana, por lo que generación tras generación, guerreros y maestros en el arte del Ken Jutsu dedicaron gran parte de su existencia a crear y perfeccionar técnicas de combate con sable, que se enseñaban y guardaban celosamente.
Cada escuela pertenecía a un clan. Estaban regidas por un maestro de prestigio reconocido, que únicamente, enseñaba a los guerreros del señor de dicho clan. Aunque puede decirse que los estilos ITTO RYU y SHINGAKE RYU se impusieron a todos los demás, especialmente al final de las guerras civiles, a lo largo de la historia existieron más de trescientas escuelas de Ken Jutsu. Cada una de ellas con diferentes técnicas y éticas, por lo que cada región o clan, en razón de las distancias y de las diferencias o enemistades, establecían su propia escuela. En todas ellas, el método principal de entrenamiento se desarrollaba a través de ejercicios formales preconcebidos llamados Katas, practicados con Katana o Bokken, sable de madera.
En la época Tokugawa de la era Edo llegó la paz a Japón, y los frecuentes duelos mortales con Katana o Bokken fueron finalmente prohibidos. Se pensó entonces en una tercera posibilidad: utilizar el Shinai, sable de bambú inventado en el siglo XVI.
Fue pues, en la era Edo, cuando el uso del Shinai se hizo más popular. Con el desarrollo de diferentes elementos de protección, el combate con Shinai, precursor directo del Kendo actual, tomó cada vez más importancia, y su aspecto más dinámico, le hizo para muchos, más atractivo que el Ken Jutsu.
El Ken Jutsu, Kendo, nace como Arte de esgrima y Vía de formación integral. Su único objetivo ya no era acabar con la vida del adversario. Su meta principal es desarrollar la habilidad física, agilidad mental, el carácter espiritual; en definitiva, la formación del hombre como Ser Humano. Un nuevo horizonte se abre tras él.
En 1941, por sus altos valores educativos, la práctica del Kendo se hace obligatoria incluso en la escuela primaria. Más tarde, tras la Segunda Guerra Mundial, las fuerzas de ocupación prohíben su práctica y la de las demás Artes Marciales. En 1952 se permite de nuevo la práctica de las Artes Marciales y es en 1962 cuando el Kendo vuelve a ser obligatorio para los estudiantes de las escuelas primarias e institutos, con lo que el Kendo adquiere un gran auge. Actualmente lo practican en Japón más de veinte millones de personas, y es, el Arte Marcial más tradicional.
En el antiguo Ken Jutsu, los ataques iban dirigidos a las partes no protegidas por la armadura, o bien a atravesar sus junturas, siendo frecuentes los ataques a las piernas. El Kendo moderno limita los puntos de ataque, pero deja gran libertad para atacar.
Existen diversas técnicas o puntos de ataque: Men (cabeza), Kote (muñeca), Do (tronco), Tsuki (garganta. De entre todas estas técnicas, el Shomen Uchi es la base de todas ellas, está considerado como principio y fin del Kendo
El Kendo, cuyos orígenes se pierden en la nebulosa de los tiempos, es el Arte de la esgrima japonesa. Los más antiguos relatos sobre la historia del Japón atribuyen al sable un origen divino, hasta tal punto, que es uno de los tres símbolos sagrados del Japón.
La forma y estilo del sable japonés con hoja curvada, NIPPON TO, apareció según todos los indicios hacia el siglo XII de la mano de hábiles artesanos que lo forjaban y templaban acompañados de ceremonias y ritos purificantes, encaminados a conseguir la protección de los Dioses.
Sólo los samuráis estaban autorizados a llevar dos sables, uno largo y otro corto, cuya posesión pasaba de padres a hijos. E1 sable o Katana era el alma y la vida del samurai, simbolizando, sus cualidades más preciadas: lealtad, honor, sinceridad, coraje, etc.
El Kendo, Ken Jutsu en aquella época, era de vital importancia para los guerreros samuráis. Su vida dependía de la habilidad adquirida en el manejo de la Katana, por lo que generación tras generación, guerreros y maestros en el arte del Ken Jutsu dedicaron gran parte de su existencia a crear y perfeccionar técnicas de combate con sable, que se enseñaban y guardaban celosamente.
Cada escuela pertenecía a un clan. Estaban regidas por un maestro de prestigio reconocido, que únicamente, enseñaba a los guerreros del señor de dicho clan. Aunque puede decirse que los estilos ITTO RYU y SHINGAKE RYU se impusieron a todos los demás, especialmente al final de las guerras civiles, a lo largo de la historia existieron más de trescientas escuelas de Ken Jutsu. Cada una de ellas con diferentes técnicas y éticas, por lo que cada región o clan, en razón de las distancias y de las diferencias o enemistades, establecían su propia escuela. En todas ellas, el método principal de entrenamiento se desarrollaba a través de ejercicios formales preconcebidos llamados Katas, practicados con Katana o Bokken, sable de madera.
En la época Tokugawa de la era Edo llegó la paz a Japón, y los frecuentes duelos mortales con Katana o Bokken fueron finalmente prohibidos. Se pensó entonces en una tercera posibilidad: utilizar el Shinai, sable de bambú inventado en el siglo XVI.
Fue pues, en la era Edo, cuando el uso del Shinai se hizo más popular. Con el desarrollo de diferentes elementos de protección, el combate con Shinai, precursor directo del Kendo actual, tomó cada vez más importancia, y su aspecto más dinámico, le hizo para muchos, más atractivo que el Ken Jutsu.
El Ken Jutsu, Kendo, nace como Arte de esgrima y Vía de formación integral. Su único objetivo ya no era acabar con la vida del adversario. Su meta principal es desarrollar la habilidad física, agilidad mental, el carácter espiritual; en definitiva, la formación del hombre como Ser Humano. Un nuevo horizonte se abre tras él.
En 1941, por sus altos valores educativos, la práctica del Kendo se hace obligatoria incluso en la escuela primaria. Más tarde, tras la Segunda Guerra Mundial, las fuerzas de ocupación prohíben su práctica y la de las demás Artes Marciales. En 1952 se permite de nuevo la práctica de las Artes Marciales y es en 1962 cuando el Kendo vuelve a ser obligatorio para los estudiantes de las escuelas primarias e institutos, con lo que el Kendo adquiere un gran auge. Actualmente lo practican en Japón más de veinte millones de personas, y es, el Arte Marcial más tradicional.
En el antiguo Ken Jutsu, los ataques iban dirigidos a las partes no protegidas por la armadura, o bien a atravesar sus junturas, siendo frecuentes los ataques a las piernas. El Kendo moderno limita los puntos de ataque, pero deja gran libertad para atacar.
Existen diversas técnicas o puntos de ataque: Men (cabeza), Kote (muñeca), Do (tronco), Tsuki (garganta. De entre todas estas técnicas, el Shomen Uchi es la base de todas ellas, está considerado como principio y fin del Kendo
Primeres impressions
Estic esperant a la consulta i com no arriba la visita programada, m'aburreixo i em poso a escriure aquesta parrafada on incloc el link del Dojo on vaig descobrir el Kendo.
Jo practico aquest sport al club de Kendo Ryoshinkai (KendoRioshinkay plana web). S'entrena els dimarts i dijous de 19.30h a 21.00h i si voleu provar només cal que us compreu in Shinai (uns 30 €) i un parell de pernils (un pel sensei i un altre pel Jordi de qui he piratejat l'idea del blog i part d'aquesta entrada :uns 600 € -no val de recebo!!!) de més a més de les ganes de practicar (és clar... i com també és català... és gratis!!!!). Preneu el meu exemple, abans mort que senzill!!!!Tinc de mascota una fura, practico Kendo i no us dic ara altres coses que faig per a no enlluernar-vos i deixar-vos sense misteris. Ah podeu venir a xafardejar sempre que volgueu, practiquem amb les cortines corregudes per a que pogueu veure com ens repartim els mens, kotes i dos
Com diu en Jordi: "Os saludo, futuros kendolechones"
Jo practico aquest sport al club de Kendo Ryoshinkai (KendoRioshinkay plana web). S'entrena els dimarts i dijous de 19.30h a 21.00h i si voleu provar només cal que us compreu in Shinai (uns 30 €) i un parell de pernils (un pel sensei i un altre pel Jordi de qui he piratejat l'idea del blog i part d'aquesta entrada :uns 600 € -no val de recebo!!!) de més a més de les ganes de practicar (és clar... i com també és català... és gratis!!!!). Preneu el meu exemple, abans mort que senzill!!!!Tinc de mascota una fura, practico Kendo i no us dic ara altres coses que faig per a no enlluernar-vos i deixar-vos sense misteris. Ah podeu venir a xafardejar sempre que volgueu, practiquem amb les cortines corregudes per a que pogueu veure com ens repartim els mens, kotes i dos
Com diu en Jordi: "Os saludo, futuros kendolechones"